Ces derniers se sentant lésés depuis la récupération du tronçon de route de l’oued Ain Sefra à Mostaganem, par l’Entreprise « Cosider » laquelle, vient de barricader les lieux pour avoir une zone tampon afin de sécuriser les lieux et lui permettre la facilitation du transit des matériaux et des engins. On s’en souvient, c’était en janvier 2018, que 410 commerçants ont été délogés de la zone opérationnelle de construction du viaduc entrant dans le cadre du projet « Tramway », parmi eux notamment, des exploitants de « parking » détenteurs d’une « patente collective », les autorisant à exercer dans le gardiennage temporaire des véhicules. Dans l’état actuel des choses, et suite à la dernière opération d’évacuation des commerçants « illégaux récidivistes » de la zone de l’oued Ain Sefra malheureusement, certains d’entre eux se seraient trouvés mis, de fait, en chômage forcé, à l’instar de leurs camarades de l’extrémité Est du tronçon de route, comme précisé par ces « revendicateurs ». Selon eux, il existerait une possibilité de pouvoir ré-exploiter la partie qui serait actuellement libre, ce qui permettrait par la même occasion, de désengorger les lieux du stationnement anarchique qui s’est installé dans les environs à la faveur de la disparition de ces dits « parkingueurs ». Parmi ces derniers, certains sont de pauvres pères de familles, sans autres ressources autres que celle de détenir une autorisation d’exploitation de parking dûment délivrée par l’autorité compétente. En ce sens, les intéressés revendiquent que, des mesures de réhabilitation de l’espace dont il est question, soient prises dans le cadre de la résolution de ce problème.