Dans les années 80, je ne me rappelle pas de la date exacte, le wali Hadj Chaffai Benmerouga m’a convoqué dans ses bureaux pour me proposer de collaborer avec le journal El Moudjahid, j’ai répondu par l’affirmative et j’ai écris quelques articles, je n’avais pas assez d’expérience pour passer immédiatement à des sujets divers ou me spécialiser dans certaines rubriques. La plupart des correspondants et journalistes ont tendance à se spécialiser et ce, en collaborant avec d'autres journalistes pour rédiger un article ou mettre en forme un reportage qui couvre l’actualité. Par exemple, un journaliste sportif couvre les nouvelles dans le monde du sport, mais ce journaliste peut aussi faire partie d'un autre journal qui couvre d'autres sujets. Dans cette période il existait de bonnes plumes à l’image de, Hamou El Habib la république et El Djoumhouria, Khaldi Benamar du journal El Watan, Ghobrini Mustafa d’Algérie Républicain. A partir du 3 avril 1990, il y a eu l’ouverture de la presse écrite sonnant comme la fin d’une époque dans le paysage médiatique, l’initiateur de la loi sur l’information qui aura permis à l’ouverture d’une presse diversifiée à l’initiative du secteur privé. Il s’agit de Mouloud Hamrouche, père des réformes en Algérie et concepteur du nouveau visage de la presse algérienne née des convulsions de l’après- Octobre 1988.
Depuis l’année 92 à aujourd’hui, je collabore avec le journal ‘’Le Soir d’Algérie’’ malgré que j’ai fait une pause de quelques années vers la fin des années 2000 car je ne pouvais pas assimiler le métier de correspondant de presse avec le poste de responsabilité de directeur d’unité que j’occupais à l’unité Naftal. C’est mon ami Feu Sid Ahmed Hadjar (Allah Yarhamou) qui me suppléa au poste de pigiste étant donné que le journal ‘’ le matin’’ où il collaborait a cessé de paraitre. Je me rappelle aussi d’avoir envoyé quelques billets au journal ‘’La république’ quand il imprimait le journal en langue Française et je me rappelle aussi de mon tout premier papier intitulé ‘’ la fête de la police au boulodrome de Beymouth’’. Les papiers je les transmettais dans des enveloppes où est noté ‘’ Enveloppe hors sac à ne pas ouvrir’’ à partir de la gare de bus SNTV du centre ville vers la ville d’Oran.
Mon meilleur souvenir dans la presse ce fut surtout un égard quand un de mes papiers a été repris le 19 août 2000 en page une sur le journal le monde en France, c’était un fait divers lié au terrorisme, concernant une jeune comédienne du théâtre qui a été brûlée vive. Parmi mes mauvais souvenirs c’est l’attentat de Sidi Ali qui a coûté à la vie à 5 scouts et je n’oublierai jamais cet attentat, il y a aussi la visite du président Chadli Bendjedid à Mostaganem où les journalistes (certes on n’était pas nombreux) étaient les invités du président de la république et assis de surcroit dans la même table tout près de lui à la véranda de la résidence de la wilaya. L’inauguration du complexe sportif OPOW en 1984 m’a permis de croiser et parler longuement avec Aimé Jacquet l’entraineur de Montpellier (France) venu à Mostaganem jouer un match amical de football contre l’équipe nationale . Je rends hommage à mon ami feu Meceffeuk Mohamed du journal El Watan qui a été assassiné par les hordes terroristes, à feu Arrouch Mansour décédé dans un accident de la circulation et à feu Benyahia Abdelkader du journal Réflexion mort des suites d’une maladie, ils ont laissé un grand vide dans la corporation à Mostaganem. Depuis ma mission d’information dans la wilaya, j’ai côtoyé dans mon travail de la presse exactement onze walis qui sont passés successivement à Mostaganem et j’en garde d’excellents souvenirs. J’ignore si je peux me souvenir de tous les bonnes et mauvaises circonstances passées dans le journalisme, je pense qu’il me suffira de revivre certains moments uniquement dans ma mémoire mais ils sont ancrés pour la vie. Aujourd’hui, Retraité et malgré une santé instable, je collabore toujours avec ‘’ Le Soir d’Algérie’’. J’ai collaboré aussi avec le journal électronique TSA (Premier média Francophone sur internet) en 2013. Dans les années 80, nous étions moins d’une demi-douzaine de journalistes et correspondants à couvrir les évènements dans le cadre de notre mission d’information dans la wilaya, aujourd’hui la famille journalistique s’est agrandie de par le nombre conséquent des journaux privés de radio et de télévision. La presse d’aujourd’hui est redevenue ouverte, modernisée et enrichie et le nombre dépasse je crois la soixantaine dans la wilaya. Concernant le délit d’un article jugé diffamatoire tout ceci démontre cette impossible liberté d’expression dont on veut à tout prix nous le faire croire. Mostaganem peut se vanter d’avoir son journal ‘’Réflexion’’ de surcroit un quotidien national dont le directeur est notre ami Belhamidèche Belkacem. Avec la spontanéité que je lui connais, il a forcé son enthousiasme naturel pour signifier à quel point le journal est suivi tous les jours par des milliers de lecteurs au-delà de ce que je m’imaginais.
Enfin, je profite de l’occasion qui m’est offerte par le journal Réflexion pour souhaiter au wali de Mostaganem Mr Abdelwahid Temmar une vie pleine de réussite dans la suite de ses actions et de ses efforts visant à faire de Mostaganem une wilaya de choix et bonne fête à tous mes confrères et consœurs à l’occasion de la journée mondiale de la presse qui sera célébrée très prochainement.
Depuis l’année 92 à aujourd’hui, je collabore avec le journal ‘’Le Soir d’Algérie’’ malgré que j’ai fait une pause de quelques années vers la fin des années 2000 car je ne pouvais pas assimiler le métier de correspondant de presse avec le poste de responsabilité de directeur d’unité que j’occupais à l’unité Naftal. C’est mon ami Feu Sid Ahmed Hadjar (Allah Yarhamou) qui me suppléa au poste de pigiste étant donné que le journal ‘’ le matin’’ où il collaborait a cessé de paraitre. Je me rappelle aussi d’avoir envoyé quelques billets au journal ‘’La république’ quand il imprimait le journal en langue Française et je me rappelle aussi de mon tout premier papier intitulé ‘’ la fête de la police au boulodrome de Beymouth’’. Les papiers je les transmettais dans des enveloppes où est noté ‘’ Enveloppe hors sac à ne pas ouvrir’’ à partir de la gare de bus SNTV du centre ville vers la ville d’Oran.
Mon meilleur souvenir dans la presse ce fut surtout un égard quand un de mes papiers a été repris le 19 août 2000 en page une sur le journal le monde en France, c’était un fait divers lié au terrorisme, concernant une jeune comédienne du théâtre qui a été brûlée vive. Parmi mes mauvais souvenirs c’est l’attentat de Sidi Ali qui a coûté à la vie à 5 scouts et je n’oublierai jamais cet attentat, il y a aussi la visite du président Chadli Bendjedid à Mostaganem où les journalistes (certes on n’était pas nombreux) étaient les invités du président de la république et assis de surcroit dans la même table tout près de lui à la véranda de la résidence de la wilaya. L’inauguration du complexe sportif OPOW en 1984 m’a permis de croiser et parler longuement avec Aimé Jacquet l’entraineur de Montpellier (France) venu à Mostaganem jouer un match amical de football contre l’équipe nationale . Je rends hommage à mon ami feu Meceffeuk Mohamed du journal El Watan qui a été assassiné par les hordes terroristes, à feu Arrouch Mansour décédé dans un accident de la circulation et à feu Benyahia Abdelkader du journal Réflexion mort des suites d’une maladie, ils ont laissé un grand vide dans la corporation à Mostaganem. Depuis ma mission d’information dans la wilaya, j’ai côtoyé dans mon travail de la presse exactement onze walis qui sont passés successivement à Mostaganem et j’en garde d’excellents souvenirs. J’ignore si je peux me souvenir de tous les bonnes et mauvaises circonstances passées dans le journalisme, je pense qu’il me suffira de revivre certains moments uniquement dans ma mémoire mais ils sont ancrés pour la vie. Aujourd’hui, Retraité et malgré une santé instable, je collabore toujours avec ‘’ Le Soir d’Algérie’’. J’ai collaboré aussi avec le journal électronique TSA (Premier média Francophone sur internet) en 2013. Dans les années 80, nous étions moins d’une demi-douzaine de journalistes et correspondants à couvrir les évènements dans le cadre de notre mission d’information dans la wilaya, aujourd’hui la famille journalistique s’est agrandie de par le nombre conséquent des journaux privés de radio et de télévision. La presse d’aujourd’hui est redevenue ouverte, modernisée et enrichie et le nombre dépasse je crois la soixantaine dans la wilaya. Concernant le délit d’un article jugé diffamatoire tout ceci démontre cette impossible liberté d’expression dont on veut à tout prix nous le faire croire. Mostaganem peut se vanter d’avoir son journal ‘’Réflexion’’ de surcroit un quotidien national dont le directeur est notre ami Belhamidèche Belkacem. Avec la spontanéité que je lui connais, il a forcé son enthousiasme naturel pour signifier à quel point le journal est suivi tous les jours par des milliers de lecteurs au-delà de ce que je m’imaginais.
Enfin, je profite de l’occasion qui m’est offerte par le journal Réflexion pour souhaiter au wali de Mostaganem Mr Abdelwahid Temmar une vie pleine de réussite dans la suite de ses actions et de ses efforts visant à faire de Mostaganem une wilaya de choix et bonne fête à tous mes confrères et consœurs à l’occasion de la journée mondiale de la presse qui sera célébrée très prochainement.