
Les transformations politiques qui affectent le centre de Diar Errahma où sont pris en charge une centaine de personnes entre hommes et femmes de différents âges, n’ont pas fini encore de faire parler d’elles tant les formes de violence et séquestration dont sont victimes ces malheureux pensionnaires jetés aux oubliettes dans des conditions déplorables sous les ordres de la sous-directrice du centre, Mme Kihel Meriem qui nous a interdit l’accès au centre pour nous informer des conditions de vie et le régime auquel sont soumis ceux dont les aléas du monde en a voulu ainsi. Tant également les formes et les tentations de succession monarchique à la tête de ce centre des personnes âgées et déshéritées tentent de se constituer victimes de l’oppression. Il est surtout de questionner les personnes âgées de la qualification de ces processus depuis que le premier directeur M. Yahiaoui a été démis de ses fonctions pour vol. Un pensionnaire nommé Bereksi Senouci qui détient des preuves irréfutables contre la dite directrice pour vol de dons attribués par les âmes charitables au profit des démunis du centre, sont acheminés vers une autre destination. De ce fait, le pensionnaire en question est isolé au centre de Diar Errahma sous surveillance jour et nuit. Un bras de fer et un conflit latent l’oppose à la directrice du centre « une comtesse de Pimbêche » sans scrupules dans cette bataille de la libération psychique de l’homme de sa double-castration. Depuis son début, la dénonciation est l’objet de diverses approches pour en saisir les conditions d’émergence et de développement thématique pour en révéler le contenu idéologique, sociologique pour en démontrer le lien entre le vécu social et en soulager l’intérêt documentaire. Mais une telle démarche suppose que cela représente des traits distinctifs probants par rapport à la déontologie humaniste. Nous y reviendrons