D’autres anciens cadres du parti dissous ont révélé qu’Ali Benhadj était la cause du bain de sang du 10 octobre 1988 à Bab El-Oued et qui a fait plusieurs morts et blessés, lors d’une marche ordonnée par Ali Belhadj, malgré, l’état de siège et la confrontation risquée des manifestants contre les militaires.
Le documentaire diffusé par EChourouk Tv accuse directement Ali Belhadj d’être à l’origine des événements du 10 octobre 1988 et la mort des dizaines d’Algériens. Ali Belhadj était un adepte de la violence depuis le temps de Bouyali et de son groupe armé. Un imam du conseil du « FIS » a également accusé Ali Belhadj d’être à l’origine de ces violences, « Je croyais que ça allait lui apprendre quelque chose, mais il n’était que plus haineux ». Selon les mêmes sources, la veille du 10 octobre 1988, Ali Belhadj a été reçu par des hauts responsables dans le siège de la direction générale de la sûreté nationale et on lui avait autorisé la marche, mais qui l’a autorisé ? Aucune information sur l’identité du responsable qui l’a autorisé.
Ainsi, l’implication d’Ali Belhadj dans les évènements de la violence d’octobre 1988 vient d’être prouvée par les leaders du parti politique islamique dissous « FIS » et qui s’ajoutent à son sale parcours de terroriste sous la djellaba de l’Imam de Bab el Oued durant la décennie noire.
Retour aux évènements : 5 octobre 1988-5 octobre 2018. Trente ans ont passé depuis le premier et grand ‘’printemps arabe’’ des algériens qui a basculé le pays dans la violence. une page douloureuse qui évoque des souvenirs très sinistres d’un peuple qui a déclenché spontanément son combat pour la liberté du droit de vivre dans l’honnêteté, malheureusement, manipulé par les politicos et les islamistes radicaux, tourne au drame et fut spolié. Pour beaucoup d'algériens, les événements d'octobre 1988 constituent un tournant dans la vie politique et sociale du pays. Elle a conduit à l'adoption d'une nouvelle constitution, à la naissance du multipartisme et à l'avènement d'une presse indépendante. Une joie qui n’a pas duré longtemps car elle fut vite confisquée par la victoire des islamistes aux élections locales et qui ont plongé le pays dans une décennie noire qui a fait 200 000 victimes en Algérie. Une sombre période qui prendra fin peu après l'élection du président Bouteflika en 1999.
Le documentaire diffusé par EChourouk Tv accuse directement Ali Belhadj d’être à l’origine des événements du 10 octobre 1988 et la mort des dizaines d’Algériens. Ali Belhadj était un adepte de la violence depuis le temps de Bouyali et de son groupe armé. Un imam du conseil du « FIS » a également accusé Ali Belhadj d’être à l’origine de ces violences, « Je croyais que ça allait lui apprendre quelque chose, mais il n’était que plus haineux ». Selon les mêmes sources, la veille du 10 octobre 1988, Ali Belhadj a été reçu par des hauts responsables dans le siège de la direction générale de la sûreté nationale et on lui avait autorisé la marche, mais qui l’a autorisé ? Aucune information sur l’identité du responsable qui l’a autorisé.
Ainsi, l’implication d’Ali Belhadj dans les évènements de la violence d’octobre 1988 vient d’être prouvée par les leaders du parti politique islamique dissous « FIS » et qui s’ajoutent à son sale parcours de terroriste sous la djellaba de l’Imam de Bab el Oued durant la décennie noire.
Retour aux évènements : 5 octobre 1988-5 octobre 2018. Trente ans ont passé depuis le premier et grand ‘’printemps arabe’’ des algériens qui a basculé le pays dans la violence. une page douloureuse qui évoque des souvenirs très sinistres d’un peuple qui a déclenché spontanément son combat pour la liberté du droit de vivre dans l’honnêteté, malheureusement, manipulé par les politicos et les islamistes radicaux, tourne au drame et fut spolié. Pour beaucoup d'algériens, les événements d'octobre 1988 constituent un tournant dans la vie politique et sociale du pays. Elle a conduit à l'adoption d'une nouvelle constitution, à la naissance du multipartisme et à l'avènement d'une presse indépendante. Une joie qui n’a pas duré longtemps car elle fut vite confisquée par la victoire des islamistes aux élections locales et qui ont plongé le pays dans une décennie noire qui a fait 200 000 victimes en Algérie. Une sombre période qui prendra fin peu après l'élection du président Bouteflika en 1999.